PARTIE IV : PRISE DE CONSCIENCE DE L'INCONSCIENCE COLLECTIVE

Prendre conscience de l'inconscience collective au travers un désir libre de tous préjugés, au travers de la curiosité saine que j'ai pour l'autre. L'autre n'est pas disponible en tant qu'autre singulier. Il a des considérations d'une autre nature qui sont liées à son appartenance à l'inconscience collective. Avancer dans la connaissance de moi même ne se délègue pas : Imaginer, se projeter, fantasmer, réfléchir depuis les contenus issus de mon expérience empirique par le biais d'un regard libre de tous préjugés. (Connaissance de soi) I EN TANT QU'ÊTRE SINGULIER JE N'AI PAS PRÉJUGÉ DE QUI JE SUIS, JE SUIS DANS LA JUSTE IGNORANCE DE MOI MÊME. II LA CONNAISSANCE DE CELUI QUE JE SUIS SINGULIÈREMENT, CONNAISSANCE SINGULIÈRE DE SOI , S'OBTIENT AU TRAVERS DE L'EXPÉRIENCE EMPIRIQUE DEPUIS UN REGARD DÉFAIT DE TOUS PRÉJUGÉS. C'est bien parce que je n'ai pas préjugé de celui que je suis que j'ai le désir f

(TENTATIVE) DE DÉBAT


Mise en situation concrète : Je suis victime du comportement d'une autre personne. elle m'a fait du mal. J'ai le désir de me venger, 
cette personne appartient à une communauté et maintenant j'ai dû mal avec cette communauté. Réaction logico-classique ( ;) ). 



Seulement réagir à cette injustice me fait éprouver que par ce réactionnel je réduis ma liberté. Je comprends que ce réactionnel, ici la vengeance, me détourne de la voie qui était la mienne préalablement à la survenance de cette injustice, aussi ce réactionnel fait de moi une personne aliénée. 
Dans mon souci de préserver ma liberté en puissance, je renonce à réagir. 


Est ce que pour conserver la chance de se faire libre ou conserver sa liberté il faut lutter contre les circonstances extérieures, comprendre et non réagir ?

A toi de jouer


Commentaires

  1. a mon avis on devient libre qd on nait on est dependant des parents et donc pas libre

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  2. et qu'est ce qui selon toi peut permettre de devenir libre ? ça aurait quelque chose à voir avec la majorité civile ?
    (merci pour ta participation)

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  3. j pense que la majorite civile n a rien a voir avec ca. la liberte vient avec son cosideration de la part de son possesseur

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  4. dans ta situation je voudrait citer A. Houedetot. "La liberté est le droit que la nature a donné à tout homme de disposer de soi, à sa volonté". La personne qui t'a fais du mal a agit selon sa propre volonté donc toi comme un etre libre tu disposes de la meme liberte d agir de meme facon. Donc vous pouvez choisir de vous venger ou non ca n impacte pas votre liberte de choisir comme un etre adult et independent. Ce qui nous permet de sentir libre c nous memes

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    1. Tout est dit je pense par charles.

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    2. j'aimerais quand même citer Spinoza à la suite de la belle citation d'houdetot, merci Charles btw :
      « Les hommes se croient libres pour la seule raison qu'ils sont conscients de leurs actions, et ignorants des causes par quoi elles sont déterminées. »
      la liberté est en tous les cas une notion épineuse et complexe. je pense que la liberté ne peut pas se passer d'une conquête dans la mesure où notre conscience commune n'est pas gouvernée effectivement par la raison. je rapproche assez facilement la liberté de la raison, liberté rationnelle donc. car si l'être n'use pas de la raison, à mon sens il se trouve sous le joug de l'opinion et l'opinion n'est pas raison, elle est souvent liée à l'attachement sensible de l'être. mais on pourrait dire que cela est relatif également dans la mesure où la liberté dépendrait alors de ce que l'être fondamentalement désire...

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    3. t as raison de dire que la notion de liberte est complexe. mais ce sommes nous qui le rendons plus complexe qu elle ne l est. Je ne suis pas d accord avec toi sur le point de la liberte totalement rationnelle je pense qu il faut pas oublier qu on est tous humain et on n agit pas toujours de la facon rationnelle. Par contre c est ce que j ai voulu dire avec mon post c qu effectivement la liberte est connectee au desir et surtout a l opportunite de le nourrir. Si on desire quelque choses et on peut nourrir ce desir sans se prendre la tete on est libre sinon non

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    4. disposer de soi a sa volonter c est encore un mythe je voudrais rester mais j ai un besoin pressant j ai beau me dire que ca controlera pas ma volonter mais ce devient urgent a en avoir le desir d aller au toilette triste sort d etre libre voila tous son corp guider par ce besoin primaire soummettre sa volonter et se corp a ce besoin qui en devien un desir saleter d urien aucune valeur et pourtant c etait ce qui a de plus important maintenant lui obeir pour s en soulager et reprendre possession de mon corp et de mon esprit librement dsl je dois y allez c plus moi qui controle comme vous il faut l avouer tous un desir profond aneantis par un desir primaire

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    5. il y a des besoins physiologiques que l'on a en partage avec les animaux et il est vrai que tant que nous sommes pris par ses besoins nous ne sommes pas loisible à des aspirations plus typiquement humaine. A ces "vils" besoins s'ajoutent d'autres besoins tout aussi important pour notre équilibre, le besoin de reconnaissance, d'appartenance, de se sentir exister. il est évident que répondre à ses besoins physiologiques ne suffira pas à rendre un homme heureux, il veut vivre et non se contenter de survivre, il a d'autres vues, il désire autrement que physiologiquement. Ce qui peut entraver ma liberté n'est pas à chercher dans les besoins physiologiques mais dans d'autres considérations qui proviennent globalement de notre conscience de. du fait de se voir au travers du regard des autres par exemple, d'en être soucieux, d'avoir de l'amour propre, ou d'aller quérir la renommée, la vaine gloire ou encore de se distraire de sa misère existentielle, de devoir apparaître à la lumière de l'extériorité, de devoir se tenir au courant de l'actualité, actualité qui ne dépend pas de moi mais dont je me fais quand même dépendant...
      (merci de ta participation, et reviens nous une fois soulagé physiologiquement. Je ne conseille pas la rétention de ses désirs physiologiques ou alors en des cadres bien spécifiques)

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    6. on concoit la liberter dans notre esprit on la veu sans lien sans attache notre physiologie nous demontre le contraire on veu concevoire l etre humain et lui retirer sa nature primaire animal soit creont dans notre esprit cette animal sans besoin primaire.don le liberter se concoit a traver le regard d un autre ou un besoin de reconnnaissance ou d autre chose la liberter est donc lier et attacher a tous ca voila donc la liberter attacher et baillonner par des besoin de la conscienceen plus d etre baillonner par des desir psychologie mais on leur tien aucune consideration meme si il sont lier a la conscience puisqu il impose un ordre de prioriter le physiologiue d abord et ensuite la conscience d ailleur la torture c est faire souffrir le corp pour atteindre la conscience alors on peu les separer mais il reste lier et interdependant .un simple pipi a mis a mal ma liberte de reflechir et de se mouvoir de posseder mon corp d atteindre ma conscience puisque ca la eteind pour un seul but et tous ca sans consideration exterieur;donc une foix les besoin vitaux resolu alors on peu essayer d etre libre? on arrive vraiment a regarder le monde le ventre vide avec des besoin et regarder le monde le ventre repus a s acalter la panse et soulager ?

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    7. on dit quelqu un qui nait et vie en prison trouve les valeur de la prison normal et c est pour lui la liberter.tolstoi a voulu liberer ses serf de l esclavage il a ete pris pour un fou par ses serf qui s y refuserent pour eux c etait normal d etre esclave et ne concevait pas la vie autrement .il se considerait meme pas comme esclave d ailleur ils on librement choisi de rester serf . oui on se voie a travers le regard des autre n est pas le chemin vers l apprentissage? on dit connais les autre pour mieux te connaitre et connais toi pout mieux connaitre les autre.apres tous chacun a sa propre definition ne serais ce que d un seul mot avec une emotion propre qu on lui attribue. heureux n est pas un etat constant c est juste un pic emotionnel comme ce miserable pipi c est se soulage d une contrainte .

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    8. il y avais ce dormeur qui fut deranger par une mouche .aussi doux qu etait ce repos ce moment apaisant fut perturber par l arrive d une mouche.conscient que pour etre heureux il devra la chasser et s entrepris a la tache.mais voila que vint un serpent qu importe la mouche ce danger etait plus oppressant.la chasse etait ouverte contre le serpent.mais le lion apparru au lion on devait reculer devant le serpent devant se danger encore plus grand ;objective vitale se saissir du fusil pour s eloigner du danger et il tua le lion;heureux fut il et soulager de voir le danger s eteindre.ce plaisir du bonheur dura un petit temp en tournant il fut a nouveau preoccuper par le serpent ;et il le tua aussi et soulager et heureux mais la fin de se probleme mis a jours le probleme precedent sont bonheur etait furtive alors peu etre que etre heureux et le bonheur ce n est que ca cette transition ce changement d etat furtive qui ne dure pas .l aspiration a etre heureux vien peu etre de ce qu on croit sont contraire on est heureux a cause du malheur ;plus on a ete sous la contrainte ou l envie et une foix resolu on happe ce moment de bonheur pendant que reapparait un malheur occulter.y a assez de mort dans cette histoire le lion la mouche et le serpent mais c etait a cause du dormeur c etait un etre humain mais avec son desir qu il lui est propre tous n aspire pas a etre heureux comme le dormeur .rendre un homme heureux sous entend qu on repond a un seul modele on appartient d emblee a un groupe et comme les animaux on ne peu avoir des aspiration ou des envie differente.

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    9. aspiration tyiquement humaine comme le besoin de reconnaissance d un chef de meute qui a besoin d affirmer qu il est le chef de la meute de loup ou celui du besoin d appartenanec comme celui du mouton qui se sent rassurer dans sa troupe ou celui de se sentir exister comme un chien qui aime tant se besoin qui est heureux a l appel d un autre chien qui l appel juste par compagnie amicale entre chien.qu elle est cette specificite humaine celle d anticiper les besoin comme ses fourmis qui font de l agriculture de champignon et qui font coiincider la recolte avec l eclosion de leur oeuf.ou bien veux t on parler de l organisatio humaine structurer et performante comme l est l industrie des abeilles.et ce lien si humain qui uni une mere a ses enfant n existe pas pour les elphant et le lion pour le loup et l agneau?humain ou animal c est vrai y a une difference morphologique on dira comportement rationnel quand on comprendra le comportement de l animal et irrationnel quand il aura pas agit comme on l entendait.on croit au dompteur et a l animal dompter mais le dompteur considere qu il y a cooperation mutuelle et un lien amical qui n est pas seulement mue par la recompense comme on le croit.

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    10. Nous commençons a avoir là un sacré bestiaire.
      Lier la liberté à la nécessité ne fait pas problème.
      Si un animal prenait conscience de son instinct, si l'abeille prenait conscience de ce à quoi elle participe et continue alors de butiner mais cette fois en prenant conscience en quoi ses différents actions consistent alors oui elle deviendra non plus déterminée mais librement nécessitée car quand bien même on lui enlèverait son instinct, cet enclos, elle continuera à butiner en conscience, par raison en comprenant que cela est bon pour se nourrir et pour le bien de participer à l'équilibre de l'ensemble. Au fond elle obéira à la nature et cessera d'en être déterminée. De plus elle prendra conscience également de la finalité des autres, elle comprendra qu'elle s’inscrit dans un empire.
      Notre lion lui n'a guère de chance de savoir pourquoi il court après la gazelle et il a aucun risque de se détourner de sa finalité.
      En tant qu’être humain on a une connaissance adéquate ou bien inadéquate, l'animal lui n'a aucune connaissance, recule sur ce qu'il fait, il n'a pas le choix en puissance, il n'a donc pas la capacité de désobéir, sa charge existentielle est nulle, il ne juge pas. Il n'établit pas une axiologie, des valeurs de bien et de mal...
      Alors que l'homme lui est perfectible, il n'est pas dans un enclos ou plutôt je dirais qu'il est dans un enclos,celui du déterminisme humain,pour en sortir un jour et gagner un autre celui de la liberté rationnelle ou nécessité morale passant d'une connaissance inadéquate à une connaissance adéquate. Donc pour être libre il ne s'agit pas de parler d'indépendance mais plutôt du fait que l’Être obéisse à ce qui est et cesse donc de se laisser gouverner par les circonstances, car la raison à la différence de l'opinion est inconditionnelle. Qu'il passe donc d'une minorité morale à une majorité morale.
      Citons pour finir Hegel :
      "Ce qui élève l'homme par rapport à l'animal, c'est la conscience qu'il a d'être un animal... Du fait qu'il sait qu'il est un animal, il cesse de l'être."

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    11. l animal n a aucun recule sur ce qu il fait pourtant son experience lui oblige a ne pas faire la meme erreur il apprend des pieges passes la strategie de chasse qui varie selon la configuration et les erreur du passes et la position que chacun occupe avec le role de rabbatteur de chacun n est il pas une conscience de son role dans le groupe et de la decision qu il aura prise avec le groupe si il est la pour fatiguer ou pour abattre la meconnaissance de l animal nous pousse a des conclusion mais qui sont le fruit de ce qu on croit savoir.regardons un peu ce gorille qui parle le language des signe ils nous en apprend beaucoup on apprend on s ecoutant seulement et en cherchant a se conforter sur ce qu on croit savoir je vous invite sur youtube avec une autre realite utiser les mot clef gorilles language des signe.n oublions pas que nous somme que des ignorant de ce monde et vaguement des apprenti.il ne juge pas pourtant certain singe reprime l injustice et font preuve d empathie;notre lion s est detourner de sa finalite quand il a ete elever avec un etre humain ou en compagnie de la gazelle et il protegera la gazelle sont ami comme un de ses congenere il reprimera le mal qui est fait n a t on pas deja vue une lionne proteger un bebe gnou sans le tuer ?et pourtant que peu t on dire de la conscience d un animal c est comme reflechir l iceberg que sur ca partie visible ou ce qu on croit voire

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    12. merci de votre belle participation, je n'étends pas le débat d'avantage sur ce sujet un peu hors cadre ES, je connais votre point de vue sur le sujet et vous connaissez le miens. cet échange était pour ma part enrichissant. A bientôt sur d'autres débats ou d'autres articles. vous êtes libre de vous étendre sur le sujet, je publierai vos commentaires

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    13. revenons a nos moutons avec mon gorille il y a dans cette histoire une autre histoire celle qui nous ramene a notre sujet.il y a deux avis d opinion le tien le mien puisque tous deux avons heriter d un savoir qu on a accepter a l ecole et ailleur.tous deux ne pouvons comprendre ce gorille il nous faux pour cela remmettre en cause nos vision et notre savoir qui est notre prison .je parle pas la langue des signe deja.nous voyons une relation de dominant et soumis avec ce gorille alors que ceux qui sont dans l experience voie une relation de confiance c a dire sans interet et de collaboration.nos prejuger feront que face a la communauter des gorilles on n ose s approcher sinon avec peur et ceux qui on essayer de les comprendre les approche sans peur avec confiance mutuelle.et comme dans notre histoire ou la peur ou le soucis est moteur il y a que ce genre de pensee c est comme l effet qui precede la cause d un instant qui existe que dans notre esprit qui est demain.ca me rappelle ce proverbe avoir peur de souffrire de quelquechose c est deja souffrir de cette peur.etant un peu comme oiseuax percher sur un arbre qui regarde le monde je reprend mon envol je reviendrais autour de l arbre que vous aurez choisis percher sur une autre branche selon le desir dicter par l instant

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    14. tu parles bien quand tu veux, sourire. Oui tu m'as fait réfléchir à la question et j'abandonne en ce sens, pour le moment du moins, mon : typiquement humain qui devient un postulat mais dont je n'ai pas besoin véritablement.
      pour ton dernier commentaire, c'est une belle approche, du genre que les relations entre les animaux les "plus intelligents" ou les mieux appropriés à communiquer avec nous est perfectible, que l'on peut améliorer nos échanges.
      merci de m'avoir fait parler des animaux, car au sein du cadre d'espace, ce n'est pas un rapport fondamental. L'animal n'exerce pas une servitude sur ma personne, il n'entrave pas ma liberté fondamentale, mais oui il peut me faire comprendre des choses sur moi même en autres, cela apparaît évident.
      Pour moi la critique non appuyée que tu portes est la critique légère également, car je préfère comprendre que de réagir, que je porte sur la prémoralité, notre conscience commune. celle qui fait que l'on préjuge, que l'on rendre des désirs sources inévitables de violences, de conflits, de recherche du pouvoir, ou de faire la société à mon image... c'est pour quoi je distingue l'age prémoral, de l'age de la moral...

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  5. Tu t'abaisseras à son niveau et tu perds ta dignité. ..
    Ne pas y répondre est la plus belle vengeance. .. à mon avis..
    Avec mes amitiés smirkof..de skyrock..

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    1. merci pour ton commentaire. désolé de répondre aussi tardivement.
      ton commentaire m'a fait repenser à un épisode d'une série dont j'ai pu être fan (à vous les limiers). l'un des protagonistes principaux veut se venger de son patron après que ce dernier l'ai renvoyé, entendu.
      Il le fait en tentant de droguer son verre pour qu'il se trouve avoir en retour de drôles de symptômes... Mais son meilleur ami tempère son excitation et lui dit avec humour que sa meilleure vengeance aurait été de réussir sa vie plutôt que de se conduire aussi puérilement

      Trouver et conserver la voie de sa conviction, de ce qui chez soi fait sens en transparence et ne pas se laisser détourner par l'opinion, par les aléas, par les pressions extérieures, les chantages affectifs...

      Il s’agit toujours d’affirmer l’autonomie contre la pression de l’extériorité.

      Résistance

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  6. j ai ete victime d un mal qu on m as fait mais bon c etait mon dentiste son comportement ma fait tres mal sur le moment j etais enfant il y a un proverbe qui dit sur cent ami 99 dise du mal de vous le dernier celui qui dit du bien le dit mal

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  7. le desir de se venger devenir ce comportement qu on deteste pour assouvir ce plaisir de la vengence on reproche ce qu on m fait et on se trouve l excuse de la vengence pour faire ce mal alors c est vraiment mal ou le mal est excusable par la vengence la haine c est alors donc raisonnable de faire du mal si celui est mue par la vengence le plaisir du mal

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  8. la reaction logico classique c est la volonte de regrouper l individu en groupe soit par concept comme celui de communaute ou phalanstere ou groupe d ami et de tuer tous individidu qui existe en son sein;le regard exterieur dira shiite et sunnite appartient a la communaute des musulman mais un eux meme ne considere pas appartenir a la meme communauter il y a meme une fracture entre les deux.logico classic est le schema qui est le notre dans ce genre d observation celui de renier l individu et d inventer un groupe

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  9. un chien attacher a son piquet se croie libre tant que la chaine n est pas tendu .il est libre de choisir dans son perimetre dans quelle direction tendre la chaine .et si on lui tend un jouet ou de la nourriture il sautera dessus selon son interet devant le nouveau choix ajouter a ses liberte de choisir .animer de colere il se vengera sur le jouet animer par la decouverte il s amusera avec .y a aussi la liberter de chosir dans les probleme soit on sourie ou on s afflige dans tous les cas ca ne resoud pas le probleme alors autant sourire puisque tous est sentiment

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  10. repose a chales se sentir libre alors c est que sait qu un sentiment sinon pourquoi parler de se sentir est ce un sentiment universelle commun a tous non sinon ca aurait pas besoin d etre defini par tant de philosophe ou d etre humain il en va comme dans un livre il y a autant d interpretation qu il y a de lecteur.dipsoser de son corp d accord mais sous la contrainte de la nourrir et de faire ses obligations du a ce corp.liberter de choisir mais c est comme si on jetait un os a un chien il saute dessus et s occupe de lui il a choisi de d accorder de l importance a ce qu on lui jette sinon il s occuperait d autre chose selon l eventail de son choix

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    1. merci pour ta belle participation. Je suis d'accord avec toi sur pas mal de choses. tu t'insères dans le cadre de ES.
      La réflexion que l’Être fait sur son désir empirique, le désir par défaut, le pousse à se défaire de ce désir qui ne tient au fond qu'à l'ignorance.
      Il est rare dans notre conscience collective que l’être trouve la disponibilité ou simplement le désir pour questionner ses penchants, la nature de son désir.
      Je ne crois pas que dans notre conscience commune l’Être obéit par défaut au commandement de la raison, ou à lui même ce qui revient à la même chose . Mais dans le même temps si il obéit à son attachement sensible, si il juge avec ce dernier, depuis la contingence de sa situation, depuis son identité ou depuis l'inconscient collectif, il ne s'éprouve pas pour autant aliéné car il n'a pas dans son besoin de se distinguer, d'appartenir à l'époque la nécessité de juger, de dire et de faire par consentement rationnel. Aussi si il est effectivement d'un point de vue rationnel aliéné, comme il ne s'éprouve pas entravé, on peut considérer qu'il est libre. Libre prémoralement.

      Si il désire par nostalgie la France d'avant, il est fort possible qu'il aille en ce sens sans jamais se demander quelle est la cause de son désir.
      Alors qu'un être qui a la nécessité morale cherchera à retrouver la cause de son désir, il cherchera à comprendre d'où lui vient ses penchants, à les valider car les causes sont généralement antérieures à son age de conscience. Il est par défaut plus mue par son désir qu'il ne se meut lui même. Il n’appellera ce désir son désir une fois qu'il en aura valider les causes.

      Si des hommes désirent la France d'avant et des autres désirent une France nouvelle au fond les uns et les autres obéissent à la même nature de désir, ils sont aussi légitimes ou illégitimes les uns que les autres.
      C'est la problématique de l'opinion car au fond l'opinion n'est qu'une préférence sensible et à ce titre ne devrait pas permettre à l'être d'influencer la conduite des autres.
      Il va de soi que cet antagonisme indépassable dans le jugement prémoral sera source de violence, de chaos, ils jugent sensiblement et non à raison. ils donnent raison à leur sensibilité, leur attachement, leur soif de pouvoir ce qui fait qu'ils frelatent leur jugement de considération sensibles, il jugent prémoralement.

      Alors que l’être moral lui aura besoin de chercher l'unité, de dépasser cette vaines distinctions, on comprend pour l’être moral que ce genre de distinctions est futiles et vanités. Pour trouver l'union de ces différentes parties il faut chercher un référent en dehors du cadre pratique et cela ne peut être que la raison.
      Dans la liberté rationnelle, la raison ne dépend pas de l'époque, elle n'est pas circonstancielle à mon sexe, à ma génération, à mon passé, ce qui fait que si c'est par nostalgie du passé que je désire la France d'avant, alors par souci moral, par désir de justice, de liberté et de responsabilité je vais me défaire de ce sentiment, ressentiment. Ce désir vient de causes extérieures et cela est donc une entrave à l'expression de ma liberté, de mon autonomie. C'est une aliénation pour l’Être au désir moral.
      Ce n'est pas parce que c'est mon désir qu'il est objectivement plus légitime que celui de l'autre à plus forte raison quand notre désir est issue de la même source. Aussi je ne peux imposer mon désir à l'autre sans verser dans l'injustice sans faire usage de la force, de mon pouvoir. C'est pour quoi on peut dire que le maître de l'esclave est lui même un esclave car il est poussé dans cette voie par un désir dont il est lui même l'objet.

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  11. Certes je peux ressentir de la nostalgie de voir que mon monde empirique, mon panorama change mais cela ne légitime pas pour autant le fait de donner de facto raison à ce sentiment, de me permettre de chercher à faire le monde, la société à mon image, à l'image de mon desiderata.
    Mon intérêt propre rejoint l’intérêt de l'ensemble car effectivement si mon désir, mon faire ou ma parole est créatrice d'injustices pour des tas d'autres alors je renonce à l'unité en les hommes et je me prononce inconsciemment pour le chaos. Ce qui ne m’empêchera pas à l'occasion de me plaindre de l'injustice alors que ma conduite sous désir prémoral en alimente la source. Car si j'ai le désir de me plaindre, de réagir et que je n'ai pas d'examen critique sur mon désir pourquoi diable je m’empêcherais de me plaindre de la conduite injustes des autres quand bien même ma propre conduite n'est pas en reste.

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  12. Je suis patriote et fiēr de l ėtre. Je ne reconnais pas ma France dans la France d aujourd'hui. Et j ai bien l'intention de le prononcer démocratiquement. A bon entendeur.

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  13. sans avoir besoin d etre amener a raisonner j ai envie de dire mandela gandhi copernic et beaucoup d autre j ai envie de dire jean moulin aussi et diogene aussi il n avais pas a vivre comme le bouffon du roi et de la cours .

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